Marc Beauchemin

Nos sympathie a toute les familles toucher par la perte de mon oncle marc , famille Benoit Beauchemin

Extrait d’un document sans auteur. À ceux que j’aime. . . Et ceux qui m’aiment. . . Quand je ne serai plus là, relâchez-moi, Laissez-moi partir, J’ai tellement de choses à faire et à voir Ne pleurez pas en pensant à moi, Soyez reconnaissants pour les belles années, Je vous ai donné mon amitié, Vous pouvez seulement deviner Le bonheur que vous m’avez apporté. Je vous remercie de l’amour Que chacun m’avez démontré, Maintenant, il est temps de voyager seul. Pour un court moment vous pouvez avoir de la peine. La confiance vous apportera réconfort et consolation. Nous serons séparés pour quelques temps. Laissez les souvenirs apaiser votre douleur, Je ne suis pas loin, et la vie continue… Si vous avez besoin, appelez-moi et je viendrai, Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, Je serai là, Et si vous écoutez votre cœur, Vous éprouverez clairement La douceur de l’amour que j’apporterai. Je serai là pour vous accueillir, Absent de mon corps, présent avec Dieu. Je ne suis pas mort. Je vivrai avec vous. Extrait de « Le don du réconfort » Ed., Sator Paris. Il est des moments cruciaux dans la vie, des crises qui demandent une force toute particulière, un effort immédiat de courte durée. Parfois surgit une difficulté apparemment insurmontable, une épreuve qui dépasse les forces humaines habituelles, qui réclame un sang-froid, une sagesse, une maîtrise et une force de caractère exceptionnels. Sans la force de Dieu, ce serait la panique, ou la révolte, ou l’effondrement. Mais Dieu, justement, a promis une grâce particulière pour ses situations particulières; il décuple la force de ceux qui lui font confiance et leur donne la victoire dans l’épreuve. Guy Appéré Spécialement pour toi, Cécile, tes enfants et ses frères et sœurs, (que je connais plus intiment) et aussi pour tous ceux qui sont touchés par le décès de Marc. Oui, c’est une période difficile que celle que vous traversez actuellement, mais la vie continue. Il y aura des jours sombres mais aussi des jours ensoleillés; signe des haut et des bas de la vie journalière. Sachez à travers les jours, reconnaître les signes de sa vie, ce qui l’a fait vivre, rendu heureux parmi vous. Sachez vous arrêter pour admirer, ce qu’il admirait et prêtez l’oreille pour l’entendre s’exclamer; il sera toujours là, votre cœur et votre conscience ne vous l’enlèveront pas. Une seule chose est absente, c’est son corps. Dans quelques temps, vous en reparlerez d’une manière tout à fait différente, mais sa présence se fera sentir dans le soleil levant et couchant, dans les menus travaux du quotidien, alors vous le retrouverez. Mes frères (Hubert, Pierre, Yves) et sœurs (Diane et Louise) se joignent à moi, pour vous offrir nos condoléances et partager avec vous ce chagrin. En toute amitié, Mireille Désautels Boucher et Jules Mont-Saint-Hilaire, 1er décembre 2013

Je viens d'apprendre le décès de Marc. Que Dieu vous donne la force et le courage pour surmonter ces heures difficiles. Mes pensées vous accompagnent durant cette épreuve. Mes plus sincères sympathies à la famille Beauchemin et Villeneuve. Votre cousine Édith Moquin, fille d'Alice Bélanger.

Chère Cécile, Nous venons d'apprendre le décès de Marc. Quelle vérité, dans le texte qui commence, Homme de coeur,d'une grande générosité. Il a été pour moi, ce qu'on dit de lui. Comme on dit qui s'assemble, se ressemble, nous connaissons ton dévouement toujours disponible. Nous t'offrons donc, ainsi qu'à ta famille, notre sympathie, et nos prières. Sincèrement, Raymonde Grenon, et famille.

Je souhaite à vous et toute votre famille mes sincères condoléances. Je suis avec vous en pensées. Annie Beauchemin Fille de Gaétan Beauchemin

Mes sincère condoléance a toute la famille je suis de tout cœur avec vous ma tante

Il n'y a pas de mots pour exprimer à quel point nous sommes affligés par la dure perte que vous vivez. Nous espérons simplement que notre sympathie vous apportera un certain apaisement.

Nos plus sincères sympathies de la part de GIlles Beaulieu et Monelle Morin