Thérèse Duchesne

Au nom de toute l’équipe du Carrefour Montrose, je tiens à vous offrir nos plus sincères sympathies. Madame Duchesne a laissé une belle empreinte auprès de nos bénévoles et de nos membres.

Que mon soutien réchauffe votre coeur

Chère Thérèse, mon amie, ma correspondante, ma copine du Salon du livre du Saguenay, tu me manqueras. Mes sincères condoléances à Julie, à Arthur et Victor ainsi que toute la famille. Thérèse m’a déjà écrit que vous étiez son plus grand bonheur. Cette femme mettait, pour reprendre son expression, de la couleur dans la vie. Je pense très fort à vous, India 🩵

Chère Julie, Nous venons tout juste d’apprendre le départ de notre chère Thérèse et nous tenons à t’offrir nos plus sincères sympathies. Nous sommes profondément peinées par cette nouvelle. Thérèse était une femme exceptionnelle, toujours souriante et sociable. Elle avait ce don rare de croire en chaque enfant et de les faire sentir importants. Son engagement auprès des jeunes en difficulté était admirable, et elle en faisait une véritable mission de vie. J’ai eu le privilège de partager un stage en enseignement à ses côtés, et j’en garde un souvenir précieux. Hugues aimait beaucoup discuter avec elle de ses défis d’adolescent, preuve de la confiance et de la chaleur que Thérèse inspirait. Nous garderons en mémoire son rire communicatif et sa grande générosité. Elle a marqué nos vies et celles de tant d’autres par son humanité. Nos pensées t’accompagnent dans cette période difficile. Avec toute notre affection, Louise, Mélanie et Hugues xxx

Que mon soutien réchauffe votre coeur

Mes condoléances à toute la famille très bon prof.

Je te souhaite, Julie, même si on ne se connait pas, toutes mes condoléances et je t'offre la gratitude et la tendresse que j'offre à ta mère. Que de bons souvenirs je garde de Thérèse, nos voyages vers le Nord et vers le Sud. Le camping... Thérèse, tu restes dans mon coeur et on se reverra un jour. Sylvie

Chère Julie, J’ai appris le départ de ta mère comme on apprend qu’une lumière ancienne s’est éteinte quelque part dans le paysage de nos vies. Même si les chemins nous avaient éloignées, elle demeure, pour moi, l’une de ces présences fondatrices qu’on ne peut jamais vraiment quitter. « J’ai souvenir encore… » Il y a cinquante ans, en stage avec elle, elle m’a tendu la main comme on tend un flambeau. C’est d’elle que j’ai reçu ce souffle, cette passion pour les enfants; ce regard qui devine la fragilité derrière l’indiscipline, la beauté derrière le chaos. Elle avait cette façon d’être proche des esprits en turbulence, presque comme si elle leur promettait qu’un jour, la mer deviendrait calme. Et ils la croyaient. Moi aussi. C’était cela sa magie. Le temps, ensuite, a imposé ses ruptures, ses silences. Certaines douleurs transforment les mots, d’autres les étouffent. Pourtant, malgré la distance, sa trace est restée vive en moi. Je n’ai jamais cessé de penser à elle… et à toi, petite Julie aux grands yeux bleus interrogatifs et rieurs. Aujourd’hui, je veux simplement te dire que ta mère laisse derrière elle plus qu’un souvenir : elle laissé un sillage. Elle a façonné des vocations, apaisé des détresses, bercé des espoirs que d’autres auraient jugés impossibles. Elle fut pour plusieurs un mentor, une conseillère. Je te souhaite que dans ce deuil, tu trouves des refuges dans sa douceur, que des éclats de son rire reviennent te visiter, et cette certitude que certaines présences continuent d’agir en nous longtemps après l’absence. Je t’embrasse avec tendresse. Et je porte le souvenir de ta mère avec gratitude. Henriette

Que mon soutien réchauffe votre coeur